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Affichage des articles du octobre, 2019

"Ils nous ont volé les étoiles" extrait 3

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P ar passion pour la lecture, dès la sortie du livre, nous partageons en ligne ses extraits. Vous trouverez plus bas le troisième extrait de "Ils nous ont volé les étoiles" par E. W. GAB. N'hésitez pas à partager vos impressions avec nous. Dossier Linda Sacher "Un mardi du mois d’août, une affaire des plus surprenantes croisa celle de Marlon White et occupa mon esprit par d’ultérieures interrogations sur la nature de l’homme, entendu en sa qualité de mâle. Ce qui m’avait frappé de prime abord en la voyant fut son aspect anodin. Un habillement standard, de grands magasins, jeans bleu et polo. A son cou, un mince collier agrémenté d’un pendentif en forme de croix. Des lunettes peu seyantes. Un visage maigre et allongé qui portait la trace d’un je ne sais quoi de pincé. De très longs cheveux bruns, peu soignés, qui ne mettaient pas en valeur une peau au teint pâle. Elle était accompagnée de son deuxième enfant car elle n’avait pu trouver personne pour le

"Ils nous ont volé les étoiles" extrait 2

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P ar passion pour la lecture, dès la sortie du livre, nous partageons en ligne ses extraits. Vous trouverez plus bas le deuxième extrait de "Ils nous ont volé les étoiles" par E. W. GAB. N'hésitez pas à partager vos impressions avec nous. Dossier Marlon White "Charmant, charmeur. Des cheveux plus clairs que ceux de Deborah White. Des yeux d’un azur riant avec une touche de vert. En me remémorant les yeux sombres de sa mère, j’avais rapidement songé à ce que devait être le père pour que ces yeux aient pu pareillement défier les lois de la génétique. Manipulateur. Yeux magnifiques traversés d’éclairs de rage dès qu’il était contredit, éclairs qu’il s’évertuait à dissimuler derrière un sourire éclatant. J’avais veillé à m’habiller sobrement, veste et pantalon noir. Il me jaugeât par une œillade appuyée. Il se présenta très poliment en tendant la main et en riant de son entrave. Je m’étais présentée à mon tour et avais expliqué brièvement que c’était sa m